Santoku
Santoku couteau polyvalent brut de forge 180 mm
Santoku couteau polyvalent brut de forge 180 mmRéf. {{ sku }}: Réf. 511
En rupture de stock
Description
Le Santoku, dont le nom signifie « trois vertus » en japonais, est un couteau incontournable de la cuisine japonaise grâce à sa polyvalence. Il permet de trancher, ciseler et émincer avec la même efficacité, que ce soit des légumes, des viandes ou des poissons. Son utilisation se rapproche de celle du couteau Bunka, tout en offrant une lame à double biseau plus facile à manipuler pour les cuisiniers européens.
Ce modèle est forgé en acier blanc « Shiro Nigo », un alliage dur et délicat qui confère un tranchant exceptionnel. Avec une dureté HRC de 64-65, la lame garantit une découpe nette et précise sans déchirer les chairs. La finition en acier brut de forge lui donne un aspect authentique et artisanal, tandis que le manche octogonal et la virole en corne de buffle d’Asie assurent une prise en main confortable, stable et élégante. L’association du double biseau et de la lame traditionnelle japonaise combine la précision des couteaux nippons avec la facilité d’utilisation des couteaux européens.
ENTRETIEN
Le matériau utilisé pour les lames est un mélange de fer et d'acier. Cela signifie qu'un entretien particulier est nécessaire pour conserver les lames en bon état, notamment pour éviter qu'elles rouillent. Les lames doivent donc être bien séchées dès leur utilisation terminée. Elles doivent également être aiguisées avec des pierres à eau, disponibles en vente sur notre site.
COMPOSITION
- Acier blanc
DIMENSIONS
Longueur de lame : 180 mm


Tahara Shunichi
Depuis plus de 50 ans, Tahara Shunichi affûte et assemble des couteaux forgés à la main par des artisans de Sakai, dans l’agglomération d’Osaka, ville historique de la coutellerie. Maître de l’artisanat traditionnel reconnu par le gouvernement japonais et la préfecture d’Osaka, sa sensibilité et son savoir-faire unique le guident dans la conception d’outils d’une qualité exceptionnelle. Calfeutré dans son petit atelier rempli de machines qu’il a, pour certaines, conçues lui-même, Monsieur Tahara aiguise seul une gamme très variée de couteaux destinés à tout type d’usage : le yanagiba à simple biseau pour découper des tranches de sashimi sans écraser les chairs, le deba pour lever des filets de poisson, le nakiri à la lame large pour émincer et récupérer des aliments, le polyvalent gyuto ou encore le petty qui rappelle le couteau d’office européen.