Saké Kamotsuru Junmai Ginjo Itteki Nyukon 720ml (15,3°)
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34,80 € TTC
Description : Le ginjo est un saké délicat à l’arôme discret du fait d’un pourcentage de polissage du riz important.
Degré d'alcool : 15,3°
Apparence : Saké junmai ginjo de couleur jaune pale, aux reflets presque orangés. Une limpidité nette, un disque net et épais.
Nez : Nez de bonne qualité et complexe au premier abord. Une bonne intensité exprimée par des esters typiques de saké ginjo : l'ester capron-san traduit ici par l’arôme d’ananas. A l’aération apparait l’ester d’acétate d’étyle traduit par les arômes de raisin frais et herbe fraîche. On remarque également l’ester phénylethanol exprimé par l’odeur florale de rose.
Bouche : L’attaque s’exprime immédiatement sur le glycérol. Ensuite, s’ajoute une bonne réaction de l’acidité et la douceur pour le rendre expressif et savoureux en cœur de bouche.
Finale : La rétro-olfaction est puissante et riche grâce au support alcool qui brûle à peine la langue. Enfin une finale qui persiste sur la minéralité.
Accord : Saké marquant par son charisme et sa complexité. Il s'accordera parfaitement à vos entrées comme un bouillon de shiitaké et bonite ou des tempura de crevette.
Température de dégustation : S'apprécie légèrement chauffé (35°)
Ingrédients : Riz (30%), Koji (8,3%), Eau (61,7%)
Conservation : A conserver dans un endroit sec et frais, à l’abri de la lumière.
Origine : Japon
Contenant : Bouteille en verre
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.
L’alcool ne doit pas être consommé par les femmes enceintes. La vente d’alcool est interdite aux mineurs.
Vous certifiez avoir l’âge légal requis et la capacité juridique pour pouvoir acheter sur ce site Internet.
Existe aussi aux formats 300ml (référence 362) et 1,8L (référence 361)
En 1873, Wahei KIMURA, inventa son saké qu'il nomma Kamotsuru et dont la brasserie deviendra une société en 1918. Pour élaborer un saké de grande qualité, ce n’est pas seulement la qualité de l’eau, mais aussi les techniques de polissage du riz qui sont essentielles. Pour s’affranchir de la limitation d’un polissage effectué à l’aide d’une meule mue par un moulin à eau l'entreprise à acheté à la société Satake la première machine à polir le riz du Japon, mise au point en 1898. Grâce à cette avancée technologique, le taux de polissage est passé à 75%, une première pour l’époque.En plus d'avoir remporté le premier prix lors de l'Exposition Universelle de Paris de 1900, en 1970, et pendant 18 années consécutives, ce saké à la qualité tout particulièrement estimée a remporté la médaille d’or au Concours national des nouveaux sakés et en avril 2014, lorsque Shinzo Abe a rencontré le Président Obama, c’est du saké Kamotsuru qui leur a été offert. Cet événement, encore dans toutes les mémoires, a rendu les sakés de la brasserie Kamotsuru, ce grand nom des brasseries de saké, encore plus populaire.
Découvrez l'histoire des sakés de Hiroshima liée à celle de la brasserie Kamotsuru dans notre article : Kamotsuru Shuzo, brasserie historique à Hiroshima